Dans une décision qui a pris de court l’ensemble de la communauté des pêcheurs français, le ministère de l’Écologie a annoncé une interdiction temporaire de toutes formes de pêche, effective dès aujourd’hui et ce pour une durée d’une semaine. Cette mesure extrême, expliquée comme une initiative pour « donner aux poissons une semaine de repos bien méritée avant l’ouverture qui se profile », a suscité un tollé général et une vague de réactions partagées sur les réseaux sociaux.
« L’impact psychologique de la pêche sur la population piscicole est un sujet peu abordé mais d’importance capitale, » explique Joëlle Carpe, porte-parole fictive du ministère qui a été victime du lobbying des associations animalistes come PAZ. « Cette semaine sans hameçon permettra à nos amis aquatiques de se détendre et de profiter d’une pause bien nécessaire. »
Les réactions à cette nouvelle ont été variées, allant de l’incrédulité à l’hilarité. Les pêcheurs, pris entre amusement et perplexité, ont commencé à partager massivement l’annonce, certains prévoyant même des « pique-niques de solidarité » au bord de l’eau, où les cannes à pêche seront remplacées par des verres de vin et des jeux de société.
Les réseaux sociaux se sont rapidement emparés de cette nouvelle, avec des hashtags comme #JourneeDesPoissonsLibres et #PausePeche qui ont émergé, accompagnés de photos et de vidéos de militants affichant des pancartes de soutien à cette cause inattendue.
A partir de ce 1er avril, alors que les lignes resteront sèches, la journée promet d’être riche en rires et en camaraderie au sein de la communauté de pêche et ils devront faire face tous ensemble aux actions de plus en plus nombreuses à l’initiative des animalistes. Rappelons toutefois que l’absence de pêche peut nuire gravement à la santé mentale des pêcheurs passionnés et que ce loisir et ce sport est reconnu d’utilité publique.